Correspondre à l’image qu’on attend de nous.
Faire plaisir à la famille, satisfaire l’entourage.
Sauver les apparences, dire que tout va bien…
Tout va bien ?
Poursuivre la lecture de « Faire semblant d’aller bien : la persona »
Thomas Nispola – thérapie psychodynamique – 06 28 33 33 89 – à Toulouse, 37 rue Pierre-Paul Riquet – « … Quelqu’un à qui parler »
Le bricolage de l’inconscient, pour faire tenir ensemble nos tendances contradictoires. Il se traduit dans le caractère, le corps, les habitudes de vie, les répétitions existentielles…
On consulte quand il devient douloureux, pénible…
Correspondre à l’image qu’on attend de nous.
Faire plaisir à la famille, satisfaire l’entourage.
Sauver les apparences, dire que tout va bien…
Tout va bien ?
Poursuivre la lecture de « Faire semblant d’aller bien : la persona »
Toucher du doigt nos limites, notre impuissance.
Changer de point de vue.
Pour sortir de l’auto-sabotage et des échecs à répétition.
Surprise :
Comme quoi, hein…
PS : aujourd’hui c’est ciné
Il nous parasite, nous pompe, nous épuise.
Il complique énormément notre vie quotidienne, particulièrement nos relations sociales.
Vivement que ça soit fini.
Saleté de complexe.
Poursuivre la lecture de « Ce vampire en nous : le vrai “complexe” »
Oppression, étouffement, passage étroit…
Sensation physique. État mental.
L’angoisse.
Poursuivre la lecture de « L’angoisse, ou « la gorge serrée » »
Le confinement a été un révélateur pour beaucoup d’entre nous.
Il nous a — parfois cruellement — confronté à nos incohérences ordinaires.
Tristesse… Abattement… Désespoir…
On est pris dedans.
Une rupture amoureuse. Un deuil affectif.
Ou « rien ». Juste comme ça.
Déprime. Dépression.
À la fin, on en sort.
Voyons comment.
Nous ne sommes pas parfaits.
OK.
Et nous ne serons jamais parfaits.
On est d’accord.
Ceci étant dit, certains schémas, certaines répétitions, certaines lourdeurs nous plombent un peu l’existence.
Voyons quelques pistes pour renoncer à ces symptômes tout en restant soi-même…
Poursuivre la lecture de « Vu de près, personne n’est normal »
Parfois, on est résolu à faire évoluer des choses dans notre vie.
Sauf que des fois on n’y arrive pas. Et ça recommence comme avant.
Voyons comment on peut débloquer une situation.
Avec malice, légèreté, et efficacité.
(merci Archimède)
Nouvelle année. Moment des « bonnes résolutions ». Que l’on tiendra.
Ou pas.
Car tout n’est peut-être pas qu’affaire de volonté…
Après avoir évoqué certaines « stratégies » que les borderline emploient pour survivre au quotidien (autour du thème de la « peau »), continuons à explorer leur lutte pour s’assurer d’une identité.
En nous intéressant à leurs relations sociales, complexes et hantées par le spectre de l’abandon…
Souffrir d’un trouble de la personnalité limite, c’est devoir inventer au quotidien des stratégies pour se protéger.
Des stratégies souvent liées à la question de l’identité.
Des stratégies de « survie émotionnelle », qui créent parfois plus de problèmes qu’elles n’en résolvent…
Certains évènements de la vie réelle peuvent être regardés avec les lunettes de l’inconscient.
OK. Et avec ça on fait quoi ?
Avec ça, on va laisser apparaître les rapports. Gentiment.
En l’occurrence, les rapports qui existent entre nos actes manqués, nos pépins, et nos tensions non résolues.
Voici quelques astuces, pour commencer.
PS : ça vaut aussi pour l’angoisse.
Quand des « signaux d’alarme psychique » s’allument et qu’on les ignore, qu’on persiste à les ignorer, leur niveau risque d’augmenter, jusqu’à ce qu’on ne puisse plus regarder ailleurs.
Burn out, dépression, effondrement, accidents : ces coups de semonce retentissants arrivent rarement de nulle part…
Poursuivre la lecture de « T’as pas entendu quelque chose ? (du bon usage de la paranoïa) »
Quand des choses étranges, sorties de nulle part, s’invitent dans notre vie, c’est peut-être que le Fripon est à l’œuvre.
Messager facétieux de ce qui pousse en nous-mêmes, il pourra devenir un allié ou au contraire prendre des formes absurdes et destructrices, selon qu’on lui prête ou pas la juste attention.
Se figurer ce personnage, c’est une façon de dire ce qui se passe en nous.
clique ici si tu veux que le Fripon te laisse dormir ce soir
Un sms qui part pour le mauvais destinataire.
Un prénom prononcé au lieu d’un autre.
Un anniversaire oublié.
Des clés que l’on ne trouve pas au moment où l’on devrait absolument être à l’heure.
Un effet personnel laissé chez quelqu’un…
Bienvenue au pays des actes manqués, savoureuse entrée en matière vers le fonctionnement de l’inconscient.
Poursuivre la lecture de « Les actes manqués : faire exprès sans le vouloir »
Si vous voulez tout connaître des secrets cachés de vos rêves,
Se mettre en danger pour se rassurer… Quitte à pousser le bouchon trop loin.
Prendre des risques, se faire mal, de façon choquante et incompréhensible pour les autres.
Auto-sabotage, autodestruction : détresse des borderline qui, pour se sauver, causent parfois leur propre perte…
Nous poursuivons une série d’articles sur le trouble de la personnalité limite, en considérant cette-fois-ci des comportements qui peuvent en être des symptômes.
Il s’agit de ces réactions foudroyantes, qui se manifestent parfois dans un ciel serein, et qui semblent relever d’une émotivité hors-norme…
« Trouble de la personnalité limite », c’est une façon de dire.
Une appellation diagnostique.
Elle provient d’un manuel psychiatrique américain, qui en énonce neuf critères.
Il importe de les lire. Ça cadre le sujet.
« Quand on veut on peut. »
« Moi je dis, avec un peu de volonté… »
« Mais c’est des chichis, ça. »
« Et ben t’as qu’à te forcer. »
« Mais c’est dans ta têêêêêêête. »
« Moi j’y suis arrivé tout seul, personne m’a aidé, et je me plains pas. »
« Je peux pas m’empêcher de… »
« J’en ai marre, à chaque fois… »
« C’est fou, je me retrouve toujours dans les mêmes plans… »
« Mais pourquoi je tombe systématiquement sur des… »
« Je sais pas ce qui m’a pris… »
… Voilà qui ressemble à des situations où l’inconscient demande à être entendu.
Voici une présentation de mon approche de la thérapie, écrite avant la création de ce site.
Il paraît qu’elle rend assez bien compte de l’esprit de ma pratique.
« “La psychanalyse” ?
Ben, la psychanalyse, c’est Freud, non ? »
Oui.
Mais pas seulement.
Voyons un peu sur quoi travaille et agit la psychanalyse.
Concrètement.
Quand on dit « psychanalyste », on ajoute souvent juste après un adjectif en « -ien ».
On entend ainsi parler de « psychanalyste lacanien », de « psychanalyste freudien », ou encore de « psychanalyste jungien »…
Comment s’y retrouver ?