Hors des étiquettes, des clivages, des injonctions à être comme ceci, ou comme cela.
Vers l’identité à soi-même.
Retour aux fondamentaux, là où règnent liberté, mobilité et singularité.
Thomas Nispola – thérapie psychodynamique – 06 28 33 33 89 – à Toulouse, 37 rue Pierre-Paul Riquet – « … Quelqu’un à qui parler »
Une « folie ordinaire » qui dit quelque chose de nous. Elle repose sur le “retour du refoulé” et sur la “projection”. Freud a mis en lumière ses mécanismes avec le célèbre “cas Schreber”. Jung nous permet de la comprendre aussi en termes de “compensation”. Excellente porte d’entrée vers la logique de notre inconscient…
Hors des étiquettes, des clivages, des injonctions à être comme ceci, ou comme cela.
Vers l’identité à soi-même.
Retour aux fondamentaux, là où règnent liberté, mobilité et singularité.
Surprise :
Comme quoi, hein…
PS : aujourd’hui c’est ciné
Le « complexe d’Œdipe ».
Tout le monde sait ce que c’est.
On dit « c’est quand tu veux coucher avec ta mère ».
On rigole et on passe à autre chose.
Et si on essayait de comprendre de quoi on parle ?
Histoires qui se répètent. Dynamiques qui se reproduisent. Toujours le même début. Toujours la même fin.
C’est plus fort que nous.
On joue un rôle, toujours le même, dans un scénario écrit à l’avance.
Tant qu’on est le prisonnier, inconscient, d’un fantasme.
Séparation, isolement. Distance, rupture. C’est réactivé par les couvre-feu, les confinements. On ne voit plus certaines personnes. On en rappelle d’autres.
La période fait ressortir les enjeux cachés de nos relations.
Dis-moi qui te manque, je te dirai où tu en es…
Une façon ludique, et pragmatique, d’envisager les petites aventures du quotidien. Celles qui nous perturbent, d’une façon ou d’une autre. Ces vécus bien réels mais qui dégagent quelque chose qui nous retient, quelque chose de bizarre.
Je vous propose d’y repenser comme s’il s’agissait d’un rêve.
Nous allons entrer aujourd’hui dans le ressenti des borderline, dans leur perception des choses.
Un univers émotionnel où les frontières sont poreuses, entre soi et l’autre, entre l’amour et la haine, entre l’impression de perfection et l’impression de nullité. On passe de l’un à l’autre sans transition, de façon abrupte.
Sans demi-mesure.
On confond souvent “conscience” et “raison”. On confond souvent “conscience” et “logique”.
Comme si, en dehors de notre conscience, tout devenait illogique, irrationnel.
Pourtant, hors de la raison ordinaire, « raisonnable », il y a encore de la raison. Explorons ensemble cette étrange rationalité :
la raison de l’inconscient.